I. Profondeur de pénétration de l’aiguille ГОСТ 11501-78

On définit la profondeur de péntration de l'aiguille à l’aide d'appareil spécial (pénétromètre). On pénètre l'aiguille en acier dans le matériau éprouvé (fig. 1). La profondeur de pénétration de l'aiguille s’exprime dans les degrés qu’on définit selon l'échelle de pénétromètre. Chaque degré de disque correspond à l'abaissement de l'aiguille en 0.1 mm.

 
 


suspensés au milieu huilié, en dépendance de leur quantité ils peuvent être particuliers, ainsi que liés avec les compositions en chaîne.

L’état d’agrégat des bitumes dépend du rapport des huiles, des goudrons et des composants solides. Le contact entre les mycéliums manque au contenu excédentaire des huiles, avec l'augmentation de la tempйrature les mycéliums se détruisent.

Dans les deux cas les bitumes se trouvent à l'état liquide. Au contraire, avec l'augmentation de la concentration dispersée de la phase il y a une coagulation, c’est-à-dire le collage des particules, qui amène à l'augmentation de la viscosité et au durcissement des bitumes. Le passage du système à l'état visqueux ou solide se passe aussi au refroidissement des bitumes par l’extraction graduelle des particules de plus grande masse moléculaire, qui devient le centre de la formation des nouveaux mycéliums. A une haute concentration les mycéliums entrent dans le contact direct et la structure passe а l'état de gel, c’est-à-dire d’un système structuré formé à la suite de l'action des forces moléculaires d’adhésion entre les particules colloïdales, c'est pourquoi on peut classer les bitumes comme les matériaux visqueux coagulés organiques.

Selon le moyen de la réception on distingue les bitumes pétroliers résiduels, acidifiés, les bitumes-crakings, de compound et les bitumes de déasphaltisation. Le mazout, l'huile solaire et le goudron sont les produits initiaux.

 
 

 


hydrocarbures C9Н20 jusqu'au С30Н20 et leurs compositions avec le soufre, l'oxygène, l'azote. On peut séparer toutes les compositions diverses formant le bitume en trois groupes: la partie solide, le goudron et les factions d'huile: les huiles (45-65%); les goudrons (15-30%), les asphaltènes (10-30%). Les huiles ce sont les liquides visqueux comprenant les mélanges des hydrocarbures avec la masse moléculaire 300-500, le goudron – substance visqueux plastiques de haute molécules comprenant les hydrocarbures avec la masse moléculaire 600-800, les asphaltènes – substances solides fragiles avec la masse moléculaires 1000-5000 et plus hautes. Sauf les asphaltènes et d'autres substances solides peuvent entrer dans une petite quantité: les carbène et les carboïde (1-2 %), les paraffines (0,6-8 %).

Dans la composition des bitumes entrent les acides d’asphaltène (jusqu'à 1%) – substances résiniques possédant une haute polarité et contribuant à une adgaisie plus intensive des bitumes vers les matériaux en pierre.

Les bitumes sont les substances hydrophobes formant les systèmes colloïdals de la structure de mycélium. Un mycélium c’est une particule de la substance colloïdale représentant une nouvelle formatio

complexe dans lequel la phase dispersé (le noyau de la particule) se trouve en liaison physico-chimique avec l'environnement. Par la couche des ions - soi-disant l'enveloppe solvate. Dans les bitumes les noyaux de mycéliun sont les particules des ashpaltènes. Ils sont stabilisés par la couche adsorbée des goudrons. Les mycéliums sont

 


Pour l'essai on fond un échantillon déshydraté préalablement de bitume sur le bain sableux dans une étuve de séchage. On verse le bitume fondu dans la tasse métallique (de 55 mm de diamètre et de 45 mm d'hauteur) en hauteur pas moins 30 mm, on refroidit au cours d’une heure à la température de 18 ...20ºС et avant l'essai on le place à la baignoire avec la température de l'eau 25ºС pour une heures. Après l'acquisition par le bitume de la température de l'eau on sort la tasse de la baignoire et on la place au cristallisateur (le récipient plat) avec l'eau de la température 25ºС (l'eau doit couvrir l’échantillon), et on le met sur la table de pénétromètre. Après cela on amène une pointe de l'aiguille vers la surface du bitume et on baisse la latte de contact jusqu’à l’attouchement avec la partie supérieure de

porte-aiguille et on remarque la position de la flèche sur l'échelle. Simultanément on met en marche le chronomètre et on appuie le bouton, en faisant l'aiguille entrer librement dans le bitume éprouvé au cours de 5 sec, puis on relâche le bouton. Après cela on mène la latte de contact jusqu’à l’extrémité supérieure de porte-aiguille et on remarque la deuxième position de la flèche sur l'échelle. La différence entre le deuxième et le premier décomptes donne le paramètre de la profondeur de pénétration dans les degrés (les dixièmes parts de millimètre).

On répète l’essai 3 fois dans les points différents de la surface de l’échantillon de bitume qui se trоuvent pas moins que sur 1 сm des bords de la tasse et l'un de l'autre. Une moyen de trois définitions donne la valeur de la profondeur de pénétration. Après chaque essai on nettoie l'aiguille de bitume collé par le tissu mouillé par le benzol, l’essence ou la térébenthine.